< Previous30Amalgame 76 – Été 2018Nouvelles de la CommuneVoiries – Droits et obligations de la CommuneChaque année, la Commune voit sa responsabilité mise en cause suite à des défectuosités de la voirie publique. Quelles sont les règles en la matière ? 1. Rappel théorique :Il existe trois sortes de voiries : · Les voiries régionales · Les voiries provinciales · Les voiries communalesLe décret relatif à la voirie communale du 6 février 2014 définit la voirie communale comme suit : « voie de communication par terre affectée à la circulation du public, indépendamment de la propriété de son assiette, y compris ses dépendances qui sont nécessaires à sa conservation, et dont la gestion incombe à l’autorité communale »1.On entend par dépendances les accotements, fossés, berges ou talus.Lorsqu’il constate un défaut ou lorsqu’il est victime d’un accident suite à un défaut de la voirie, le premier réflexe du citoyen est souvent de se tourner vers la Commune, mais celle-ci est susceptible de renvoyer le plaignant vers la Région ou la Province en fonction du statut de la voirie concernée.Dans l’hypothèse où il s’agit d’une voirie communale, la Commune peut voir sa responsabilité engagée sur base de l’article 1384 alinéa 1 du Code Civil qui nous enseigne que : « On est responsable non seulement du dommage que l’on cause par son propre fait, mais encore de celui qui est causé par le fait des personnes dont on doit répondre, ou des choses que l’on a sous sa garde »2. Encore faut-il pour cela que la Commune ait commis une faute en lien causal avec le dommage invoqué. L’existence de cette faute sera appréciée au regard des obligations incombant à la Commune.2. Obligations de la Commune · Gestion de la voirie – devoir d’entretienLa Commune, en tant que gestionnaire des voiries communales, a le devoir de les entretenir. Par entretenir, il faut entendre : la réalisation des travaux aussi bien minimes qu’importants (réfection des fondations, pose d’un nouveau revêtement, tassement d’excavations, …), mais également les travaux de nettoyage et de dégagement.3Le devoir d’entretien s’étend aux trottoirs, égouts et abords de la voirie, car comme expliqué précédemment au point 1, la voirie communale ne comprend pas seulement la chaus-sée sur laquelle s’effectue la circulation, mais également les dépendances.S’agissant des trottoirs, ceux-ci sont présumés être de la propriété des pouvoirs publics. Cependant, il peut arriver que le trottoir appartienne au riverain. Afin de savoir si le trottoir vous appartient ou appartient à la Commune, à la Province ou à la Région, il faut s’en référer à l’Atlas des voiries qui renseigne la largeur du domaine public. Cet Atlas est consultable au Service Urbanisme de la Commune.Dans un cas comme dans l’autre, le citoyen garde une obli-gation d’entretien du trottoir jouxtant sa propriété (exemple : en cas de neige, boue, …).S’agissant des égouts, la Commune est propriétaire des égouts, pas seulement ceux qu’elle construit, mais égale-ment ceux construits par un promoteur dans le cadre d’un permis d’urbanisme et est par conséquent responsable de leur entretien.Ces égouts peuvent passer tant sous une voirie communale, que régionale ou provinciale.En revanche, les avaloirs et les canalisations ne sont pas des dépendances de l’égout, mais bien de la voirie qu’ils servent. Dès lors, leur entretien sera à charge du pouvoir public ges-tionnaire de la voirie concernée.S’agissant des abords de la voirie, leur entretien appartient aux propriétaires de ceux-ci. Cela dépendra donc au cas par cas, compte tenu de la largeur du domaine public.Néanmoins, la Commune est garante de la sécurité dans le cadre de son devoir de police développé ci-dessous.Prenons le cas des arbres implantés le long de la voirie. Leur entretien incombe à leur propriétaire. Mais si, par exemple, un arbre menace de tomber sur la route, le Commune est tenue de neutraliser le danger en fermant la circulation. Elle imposera par la suite au propriétaire d’abattre l’arbre dans les plus brefs délais, à défaut de quoi la Commune le fera aux frais du propriétaire. En outre, des sanctions administratives peuvent être infligées, à savoir une amende pouvant aller jusqu’à 350 euros.4 · CHRONIQUE JURIDIQUE (n°6)Au travers de cet article, nous vous rappellerons la responsabilité de la Com-mune à l’égard des voiries, mais également le rôle à jouer par le citoyen. La Commune n’est pas responsable de toutes les voiries et de tous les défauts que peuvent présenter celles-ci. Clarifions les situations qui peuvent se présenter à vous.Patrick LAMBERT, Echevin de l’Informationn° 1 : Comment fonctionne ma commune ?n° 2 : Ma commune à l’échelle de notre paysn°3 : Nouvelle loi sur les marchés publicsn°4 : Occupation de l’espace aérienn°5 : Voisinage – droits et obligations des voisins1 | Décret de la Région wallonne du 6 février 2014 relatif à la voirie communale, M.B., 4 mars 2014, p. 18244 http://www.ejustice.just.fgov.be/loi/loi.htm2 | Code Civil, article 1384 alinéa 1.3 | UVCW, « Responsabilité des communes en matière de voirie », Sylvie Smoos : http://www.uvcw.be/articles/33,101,37,37,1156.htm4 | Règlement Général de Police, article 143 : https://www.chaumont-gistoux.be/votre-commune/police/police/rgp-juin-2015.pdf/view?searchterm=RGP31Amalgame 76 – Été 2018Nouvelles de la Commune · Police de la voirie – devoir de policeEn plus de son devoir d’entretien, la Commune est également tenue d’une obligation de sécurité qui s’étend à toutes les voiries, quelles qu’elles soient (communales, provinciales, régionales ou même privées ouvertes à la circulation du public) qui traversent son territoire.Cela implique que lorsque la Commune a connaissance d’une situation dangereuse sur son territoire, elle doit prendre toutes mesures immédiates et adéquates afin de rétablir la sécurité. Elle en avertit ensuite l’autorité compétente si la voirie n’est pas communale (Province ou Région) qui, quant à elle, prendra des mesures permanentes.3. Responsabilité et obligations de l’usagerIl arrive que les usagers de la route commettent une faute qui a pour conséquence d’exonérer, totalement ou partiellement, l’autorité gestionnaire de sa responsabilité.Nous avons choisi de vous exposer un cas de jurisprudence, à savoir l’exemple d’une personne qui, ayant fait une chute sur un trottoir, décida d’attaquer sa commune sur base de l’article 1384, al. 1 du Code civil. Le Tribunal de Mons considéra que : « les dégradations présentes sur le trottoir litigieux étaient peu importantes ; et que les dénivellations litigieuses n’ont pas pu tromper la légitime confiance de la demanderesse en ce qu’elles ne présentaient pas un caractère anormal ou imprévisible en raison du fait qu’elles étaient parfaitement visibles et ne pouvaient échapper à un piéton normalement attentif, d’autant que la chute de la demanderesse a eu lieu en plein jour un matin du mois de juin »5.Les obligations de la Commune ne dispensent donc pas l’usager de son devoir général de prudence et de diligence qui repose sur tout un chacun. · Et au niveau du Code de la route ?L’Arrêté Royal du 1er décembre 1975 portant règlement général sur la police de la circulation routière et de l’usage de la voie publique stipule en son article 10 :« 1° Tout conducteur doit régler sa vitesse dans la mesure requise par la présence d’autres usagers et en particulier les plus vulnérables, les conditions climatiques, la disposition des lieux, leur encombrement, la densité de la circulation, le champ de visibilité, l’état de la route, l’état et le charge-ment de son véhicule ; sa vitesse ne peut être ni une cause d’accident, ni une gêne pour la circulation.2° Le conducteur doit, compte tenu de sa vitesse, maintenir entre son véhicule et celui qui le précède une distance de sécurité suffisante.3° Le conducteur doit en toute circonstance pouvoir s’arrêter devant un obstacle prévisible »6.Tout usager de la voie publique doit donc adapter sa vitesse en fonction de la voirie sur laquelle il se trouve, et de l’état de celle-ci.Par ailleurs, l’usager se doit de rester attentif aux panneaux de signalisation.Citons l’exemple des chemins de remembrement. Ceux-ci sont en effet bien souvent empruntés par des automobilistes alors que des panneaux F99C « chemins réservés aux véhicules agricoles, aux piétons, cyclistes, cavaliers et conducteurs de speed pedelecs » y sont implantés. Dans ce type de situation, la Commune ne sera donc pas responsable en cas d’accident.4. Comment déclarer un défaut de la voirie ?Enfin, rappelons que tout citoyen a la possibilité de signaler un défaut de la voirie, comme par exemple un nid de poule ou un avaloir bouché. Le citoyen peut s’adresser directement à la Commune ou, encore mieux, passer par l’application « Betterstreet » qui renvoie la demande vers le bon service.Pour de plus amples informations concernant cette application, nous vous invitons à consulter l’Amalgame Printemps 2017 « spécial anniversaire 40 ans », dans lequel vous trouverez une description plus détaillée de cet outil.Vous retrouverez le lien vers le site web Betterstreet en vous rendant sur le site de la Commune. Pour plus de facilité, voici le lien direct : https: / /www . betterstreet . org/En conclusion, gardez en mémoire que vous avez un rôle de première ligne. D’une part, pour la constatation et la trans-mission de l’information quant aux défauts de la voirie, et, d’autre part, pour le bon entretien de celle-ci.Vous êtes en quelque sorte les yeux de la commune afin que celle-ci puisse y remédier elle-même ou par l’intervention de l’entrepreneur étant intervenu dans le cadre de la garantie qu’il doit fournir lors de la réalisation de travaux.Nous ne pouvons qu’espérer que vous veillerez à prendre soin des voiries qui traversent notre belle Commune de Chaumont-Gistoux ! Lola CAPPELLE, Emilie LEDEQUE, Service juridique5 | Trib. Mons, 23 avril 1997, R.G.A.R., 1999, p. 13.1556 | A.R. portant règlement général sur la police de la circulation routière et de l’usage de la voie publique, 1er décembre 1975, M.B., 9 décembre 1975, p. 1562732Amalgame 76 – Été 2018Nouvelles de la CommuneLes montants des primes « Rénovation » et « Énergie » sont revus à la hausseGrâce aux primes, il est possible d’améliorer le confort de son logement tout en réduisant sa facture énergétique. De son côté, la Wallonie fait un pas de plus vers l’atteinte des objectifs énergétiques fixés par l’Europe.Attention, ce système de primes transitoire sera d’application jusque septembre 2018.Tous les montants des primes sont disponibles ici : https: / /energie . wallonie . be/N’hésitez pas à contacter notre service Energie pour plus de renseignements, du lundi au mercredi, au 0494/51.81.60 ou via eco-passeu r @ chaumont-gistou x . be · Contrôler ses consommations énergétiques ? Pour quoi faire ? La consommation énergétique d’un logement représente une dépense annuelle moyenne de plus de 2.000 € par ménage. Le chauffage constitue le foyer de dépenses le plus impor-tant (60 % des consommations d’un logement), suivi par l’utilisation d’appareils électriques et électroménagers, l’eau chaude sanitaire et, enfin, l’éclairage. Les appareils électriques et l’électroménager, souvent indispensables au quotidien, consomment également de l’énergie, en proportion moins élevée que le chauffage. Cependant, lorsqu’ils fonctionnent inutilement ou qu’ils sont laissés en veille, leur consommation peut rapidement faire grimper la facture. Si la consommation énergétique des luminaires représente une dépense mineure sur la facture, elle doit toutefois être maîtrisée par un compor-tement éco-responsable et grâce à des équipements adaptés (en LED par exemple). · Maîtriser sa consommation énergétique : les solutions · Chauffage : consommer mieuxIl est notamment conseillé de ne pas surchauffer les pièces de la maison. On préconise une température de 19 °C dans les pièces à vivre, entre 16 et 18 °C pour les chambres à coucher d’un adulte et 21 à 22 °C pour la salle de bains. À savoir qu’un degré de moins au thermostat représente une baisse de 7 % de la consommation de chauffage annuelle. Pour des économies sur le long terme, il est également pos-sible d’effectuer des travaux d’isolation de son logement pour chauffer de manière plus efficace, ou d’opter pour une ins-tallation de chauffage plus récente et moins coûteuse. Ces tra-vaux, onéreux à la réalisation, permettent cependant des économies significatives au bout de quelques mois. Différentes aides financières peuvent être octroyées pour financer ces initiatives (primes régionales, prêts Ecopack et Rénopack). · Électricité : les bons réflexes à adopter pour consommer moinsPour repérer les appareils électriques et électro-ménagers énergivores, l’étiquette énergie a été mise en place en 1992. Elle indique la classe énergétique des appareils, de A+++ à D ou G. Les appareils classés de A+++ à B sont à privilégier pour réaliser des économies significatives. Pour optimiser leur rendement, plusieurs gestes peuvent être adoptés au quo-tidien, comme bannir le mode veille et éteindre les appareils laissés allumés inutilement (plus de 100 € gaspillés chaque année pour des appareils laissés en mode veille).Les ampoules LED, quant à elles, permettent une économie sur l’éclairage de l’ordre de 40 % et ont durée de vie beau-coup plus longue. L’investissement plus cher au départ est rentabilisé sur le long terme. · Et la Commune alors ?Depuis plusieurs années, nous veillons au suivi des consom-mations de nos bâtiments. Un monitoring de ces consom-mations à l’école de Chaumont (Barre) a permis de révéler des consommations nocturnes non indispensables. Grâce à cet outil, nous avons pu investir dans le matériel nécessaire et avons fait une économie de plus de 600 € en quelques semaines.Plusieurs bâtiments ont également fait l’objet d’un remplacement des luminaires en LED : l’Administration communale, l’école de Gistoux, l’école de Dion et prochainement ce seront les sites de Chaumont (implantation rue de la Barre) et Chaumont (implantation des Moutons) qui pourront en bénéficier. Grâce à cet investissement, c’est une économie d’environ 40 % qui est réalisée sur la facture d’électricité.Cette année, ce ne sont pas moins de 7 bâtiments communaux pour lesquels nous allons pouvoir également consommer l’électricité produite par les panneaux photovoltaïques placés il y a 5 ans en tiers-investissement. Une sacrée économie sur nos factures et une énergie totalement renouvelable.Puisque l’avenir de notre planète c’est l’affaire de tous, la Com-mune s’engage à montrer l’exemple dans les années à venir.Patrick LAMBERT, Echevin de l’EnergiePlus d’une dizaine de primes aux particuliers favorisant les économies d’énergie et la rénovation des logements sont augmentées sensiblement depuis le 1er mars 2018. Sont également revues à la hausse les superficies pou-vant être concernées par les travaux faisant l’objet d’une prime. Le système de majoration des montants de base en fonction des catégories de revenus et en fonction de la réalisation de travaux simultanés reste d’application. La procédure administrative ne change pas non plus, n’oubliez donc pas d’envoyer un avertissement préalable avant de commencer vos travaux !33Avec le soutiende la Commune deChaumont-GistouxAvec le soutien de la Commune deChaumont-Gistoux 28 juillet 2018 dès 15hwww.folestival.be25€sur placeGratuit pour les enfants de -12 ans18€en préventeE.R.: ASBL Folestival rue du centre 14 1325 Longueville. 28 juillet 2018 dès 15h28 juillet 2018 dès 15hPHIL BATES & BAND PERFORM THE MUSIC OFELECTRIC LIGHT ORCHESTRAALAIN PIRE & BAND PERFORM THE MUSIC OFSGT PEPPER’S LONELY HEARTS CLUB BANDSHAKING THE TREE PERFORM THE MUSIC OFPETER GABRIELFUNKY PARTY SHOWSTEPHANIE DEAKPAVEL ET AEROSNOPTHOMAS FRANK HOPPERPantone 2746CCMJN 100-92-0-10 Pantone 284 CCMJN 55-19-0-0Pantone Black CCMJN 0-0-0-100affiche FOLESTIVAL 2018 (A1-A3-A6).indd 324/04/18 16:1434Amalgame 76 – Été 2018Nouvelles de la CommuneAux aînés de l’entité … mais à lire par tous !Une profonde réforme du code successoral prend cours le premier septembre. Matière sensible au niveau familial, où l’information correcte doit primer avant les actes, il est indis-pensable d’être au courant des modifications intervenues. D’autant plus que ces dernières peuvent rendre caduques des décisions antérieures. Venez donc entendre l’exposé de Maître BANMEYER le mardi 5 juin de 19 h à 21 h. Séance organisée ici aussi conjointement avec le CPAS. Entrée gratuite, salle du CPAS, réservation souhaitée au 0495/62.52.56 de Freddy ROBERT ou Jacques DENIS – jacques . denis28 @ gmai l . com.Certains s’étonnent peut-être que notre CCCA n’organise pas, à l’instar d’autres Comités, de grands déplacements, voyages. La réponse est double. En premier lieu, notre CPAS de par son dynamisme, offre déjà de telles activités. Ensuite, nous préférons des actions plus locales (genre tables d’hôtes), en rapport direct avec des souhaits récoltés (intensifier EPN pour les nuls, pour tablettes, distribution de repas à domicile), en réponse à l’actualité (conférence successions), aux récréations (après-midis en chansons), à la prévention (code de la route), sans oublier pour cela les chantiers mis en route (maison de repos). Soulignons au passage que nous ne demandons aucun subside. En effet, de par nos actions conjuguées avec le CPAS (bénévolat-intendance), il est fait en sorte que les finances communales ne soient en aucun cas grevées d’une dépense quelconque.Consulter les aînés à leur domicile, leur donner la parole et leur accorder l’importance qu’ils méritent, les informer tout en faisant remonter leurs souhaits aux autorités communales, tel est notre leitmotiv initial.D’autres projets d’intérêt général sont dans le pipe-line, pri-vilégiant l’intergénérationnel. Nous en reparlerons le moment venu. Dans l’intervalle, n’oubliez pas de vous inscrire à notre table d’hôtes du 15 juin à l’Espace Perez à Dion, celle du 20 avril rassemblait près de 70 convives.Jacques DENIS, Président Président du CCCA · CCCA (n° 5)Lors de leurs visites auprès des aînés, les membres du CCCA ont été interpelés par les soucis exprimés relatifs à la solitude des vieux jours, la préoccupation de la perte d’autonomie. Il s’avère que résider dans une maison de repos/résidence-services serait une bonne solution. Quelle que soit la tranche d’âge de nos aînés, nous avons constaté qu’il se dégage le souhait de pouvoir continuer à vivre dans l’entité de Chaumont-Gistoux et de garder des liens avec leur famille, afin d’éviter au maximum le stress du déracinement.n° 1 : Présentation du CCCAn°2 : Envisager aujourd’hui son chez-soi de demainn°3 : Aides aux aînésn°4 : Bon à savoir, à s’informer, à se former, à réserverRepas chauds livrés à domicile : c’est parti !C’est encore le cas avec le nouveau service qui vient de démarrer : la livraison de repas chauds à domicile. Comme l’expliquait une quadragénaire qui venait de se casser le bras : « Pas possible de se préparer un repas dans ces conditions … ».Notre service vise tant les personnes qui rencontrent une difficulté plus ou moins ponctuelle pour se faire à manger que les aînés qui n’ont plus la force, l’envie, l’énergie de se livrer à cet exercice. Ce problème spécifique a été un des premiers constats relevés par les membres du Conseil Consultatif Com-munal des Aînés lors de leurs visites à domicile. Il rejoignait les conclusions de notre équipe sociale et, même, celles des médecins-généralistes en matière de risque de dénutrition des personnes plus âgées.Plein de bonnes raisons donc de travailler à la mise en œuvre de cette activité avec en ligne de mire : qualité du service et des produits, accessibilité à tous, gestion rigoureuse des deniers publics. Il a donc fallu du temps et de l’énergie pour créer la formule qui permettrait d’atteindre ces trois objectifs.Depuis le 1er mars 2018, tout citoyen de Chaumont-Gistoux âgé de 60 ans au moins ou souffrant d’une incapacité tem-poraire a donc accès les lundis, mardis, jeudis et vendredis (dans un premier temps, d’autres jours seront disponibles par la suite) aux repas chauds livrés par le CPAS et fournis par la société TCO Services d’Ottignies. Ils se composent d’un potage, d’un plat et d’un dessert.Pour vous inscrire, n’hésitez pas à téléphoner au 010/68.72.50.Deux formules tarifaires sont possibles : · soit un forfait de 10 euros (quels que soient vos revenus), · soit un montant entre 5 et 10 euros qui sera fixé en fonction de vos revenus lors d’une rencontre avec l’assistante sociale.Bon appétit à vous ! Et bonne route à nos chauffeurs !Natacha VERSTRAETEN, Présidente du CPAS · CPAS (n°6)On vous le dit, on vous le répète, on vous le prouve : à Chaumont-Gistoux, le CPAS (Centre Public d’Action Sociale) s’adresse à tous. Chacun peut en avoir besoin à un moment ou à un autre de sa vie en fonction du chemin emprunté par celle-ci …n° 1 : Les CPAS fêtent leurs 40 ansn°2 : Un CPAS pour tous ? Et les jeunes alors …n°3 : Un CPAS actif dans l’accueil de la petite enfancen°4 : La créativité des enfants en fêten°5 : Etre volontaire à Chaumont-Gistoux35Amalgame 76 – Été 2018Nouvelles de la CommuneJardins partagés, roseraie commu-nale, bacs à potager – Je participe !Le premier site communal à profiter de cette cogestion est une parcelle de près de 80 ares nichée en périphérie de Dion-le-Mont. En 2010, dès les premières « chartes des usagers » signées, les parcelles des « Jardins partagés du ruisseau de Louvranges » sont semées et plantées par une dizaine de jardiniers amateurs et des activités complémentaires s’esquissent aussitôt. Les déchets générés par les parcelles potagères justifient la création d’un petit compost. Au bout de l’allée où croissent des groseilliers et autres petits fruits issus des stocks de la « Journée de l’Arbre », la mare est creusée par le service « Travaux ». Et du début du printemps à la fin de l’été, les cantonniers et jardiniers du service « Environnement-Espaces verts » se relaient pour alimenter les citernes d’eau et débroussailler les abords des potagers. L’ancien site de la première ruche devient un lieu potentiel d’hébergement d’urgence pour les ruches de la Société royale d’Apiculture de Wavre et Environs (dont sont membres plusieurs apiculteurs locaux). Sur le solde des terres sont projetées des haies vives, auprès desquelles seront placés des auxiliaires comme des parcelles fleuries [voir aussi l’appel des bénévoles plus loin dans ces pages].Créée au milieu des années '80, la roseraie communale, s’étendant alors sur une soixantaine d’ares, « héberge diffé-rentes collections : des roses historiques représentatives des grands groupes de roses cultivées des temps anciens à nos jours, des roses botaniques provenant de la nature dans le monde entier et différentes roses sélectionnées pour leur intérêt génétique. Parmi ces dernières, de nombreux hybrides de moschata et hybrides botaniques reçus à l’essai du créateur belge de renommée internationale Louis Lens, différentes variétés obtenues de semis par la roseraie elle-même et d’autres provenant de jardins de collectionneurs ou obtenteurs amateurs. Par ailleurs, le souci environnemental qui a amené la roseraie à ne sélectionner que des variétés résistantes ou tolérantes aux maladies, l’a aussi conduit à sélectionner dans ses propres semis des variétés adaptées aux conditions de sols et de climats de sa région » (www.botarosa.org). Après le départ du rosiériste communal, l’entretien du site est réduit au minimum (fauchage des sentiers et taille sommaire des plants). C’est en 2013 que des passionnés des roses offrent leurs services à la gestion de ce jardin qui voisine avec la Maison communale. Une convention de partenariat répartit les tâches entre les services communaux (tontes des sen-tiers, évacuation des déchets de chantiers de restauration, installation du mobilier urbain,..) et les Amis de la Roseraie (tailles des rosiers, entretien des couvre-sols, mise en place d’un parcours didactique, …) [voir aussi l’appel des bénévoles plus loin dans ces pages].Il y a à peine un an, les jardiniers communaux installaient des bacs à (futurs) potagers sur divers espaces publics du territoire communal : « Chaumont-Gistoux en transition » se lançait dans l’aventure des « Incroyables Comestibles ». Aujourd’hui, Commune et bénévoles viennent de signer leur deuxième convention annuelle. Les bacs à jardinage de Gistoux (devant les entrées de l’église et de l’école), Dion-le-Mont (une parcelle en pleine terre au cœur du lotissement du Val Vert) et Corroy-le-Grand (aux abords de l’école) sont mis à disposition de chacun pour semer, planter, cueillir ou déguster des plantes condimentaires, légumes et fruits … [voir les numéros d’Amalgame n° 69 et 70 ou la page Facebook de « Chaumont-Gistoux en transition » pour contacter les responsables des parcelles].Marie-Laurence SERRET-BRAGULAT, Conseillère en EnvironnementLes jardins partagés de Dion-le-MontIl y a maintenant quelques années, une équipe de jardiniers amateurs créait un jardin partagé sur une ancienne pâture mise à leur disposition par la Commune. Ils en ont fait un lieu d’échanges : échanges de graines, de plants, de matériel, d’idées, de conseils et de tuyaux. Au fil du temps, le jardin s’est transformé en un lieu de rencontres, d’amitié et de convivialité. Notre petit comité d’amoureux de la nature, adeptes d’une alimentation saine et variée, compte actuellement une quinzaine de membres. Des réunions au jardin ont lieu un samedi après-midi sur deux, d’avril à novembre. Elles sont tout à fait facultatives, chacun travaillant à son rythme et quand le temps le lui permet.Pour se joindre à nous, pas besoin de hautes compétences horticoles, ni de connaissances pointues en agrono-mie … Juste l’envie de biner et triturer la terre, d’y semer les précieuses graines qui se transformeront bientôt en savoureux légumes … Pour qui souhaite partager notre projet ou simplement s’informer, les per-sonnes de contact sont : · Josiane WERTZ : josiane . wertz @ skyne t . be – 0472/71.49.55 · Bernadette VAN DE VIJVERE : berhache z @ gmai l . com – 010/22.52.08 · NATUREZ-VOUS (n° 6)A Chaumont-Gistoux, la participation citoyenne ne se limite pas au cadre légal régis-sant les enquêtes publiques, les séances du Conseil communal, …Ainsi, services communaux et citoyens volontaires se concertent pour gérer ensemble différents espaces verts communaux.Patrick LAMBERT, Echevin de l’Environnementn° 1 : tondre, tailler, planter, semer, …n° 2 : Collecter, transporter, broyer et compostern°3 : Construire, semer, planter … pour observer et comprendren°4 : Débroussailler, tronçonner et aménager pour se balader en toute tranquilitén° 5 : Zéro phyto, la gestion différenciée du parc public au jardin privé36Amalgame 76 – Été 2018Vie associativeRoseraie communale de Chaumont-GistouxNous n’avons pas baissé les bras depuis la reprise des chantiers en ce début d’année. En effet, nous avons reçu l’aide de 2 spécialistes des roses : le professeur Claustriaux de Gembloux et Rudy Velle, rosiériste belge bien connu qui a repris la célèbre pépinière de Louis Lens1. Ils nous ont donné quelques conseils et nous ont montré comment tailler les rosiers. C’est donc plein d’énergie que nous préparons les activités du mois de juin.Nos traditionnelles portes ouvertes auront lieu lors de la Fête des Coquelicots, le dimanche 10 juin. Il y aura 3 visites guidées (11 h , 14 h et 16 h), une animation autour de la rose à 15 h et un stand boissons et nourriture.Si vous ne pouvez nous rejoindre ce jour-là, n’oubliez pas de venir admirer la floraison maximale des roses en juin. Un dépliant permettant de suivre un circuit thématique libre au milieu des roses est disponible dans la boite aux lettres accrochée au panneau d’affichage près de l’entrée de la Roseraie. N’hésitez pas à tester ce circuit qui se veut didactique et à nous faire part de vos remarques éventuelles.Pour la deuxième fois, nous allons aussi participer au week-end des « Parcs et jardins de Wallonie ». Les samedi 2 et dimanche 3 juin à 15 h, une visite guidée sur le thème « petites histoires insolites de roses » est organisée.Le travail n’étant jamais terminé dans un endroit naturel, nous avons besoin sans cesse de bras sup-plémentaires. Aucune compétence particulière n’est requise, les outils sont fournis, une heure suffit déjà et un goûter vous attend en fin de chantier.Venez nous rejoindre entre 14 h et 17 h au 2, rue Colleau à Gistoux (à côté du parking de la maison communale), les samedis 23 juin, 28 juillet et 25 août.Rejoignez également notre page Facebook pour être au courant de notre actualité et notamment des chantiers « extra » en semaine. Par-tagez-la pour nous aider à étoffer la participation citoyenne !https: / /www . facebook . com/Rose-raieChaumontGistoux ?fref=tsConsultez le blog roseraiegistoux.wordpress.com : vous serez ravis ! · Contacts pour infos : · Micheline BONE – micheline . bone @ skyne t . be · Colette WOESTYN – colettewoesty n @ hotmai l . com1 | Cette roseraie qui vaut le détour est située près d’Ostende. Elle est ouverte tous les vendredis et samedis de mai à novembre et tous les jours ouvrables de novembre à avril. Infos : inf o @ lens-rose s . com - http: / /www.lens . roses . com ou 059/26.56.14Les Chorwétis chantent pour vous à la fête des Coquelicots,le 9 juin à 18h Salle des MariagesLes Chorwétis, chorale de Corroy-le-Grand et membre du Centre culturel vous invitent à venir écouter leur concert de chansons fran-çaises lors de la Fête des Coquelicots. Beaucoup de bonne humeur au programme : des harmonisations de Béart, Brel, Brassens, Duteil, Gainsbourg, etc. Le concert est entièrement gratuit et offert par la Commune de Chaumont-Gistoux.Nous sommes très heureux de partager cette fête avec les habitants de notre belle commune.Infos : Marie-Claire PEETERS, 010/22.70.93 email : marieclairepeeters@yahoo.fr37Amalgame 76 – Été 2018Vie associativeLe Château de VieusartDos à l’église, vous trouvez, 30 m à droite, en face, le che-min d’Oignies qui nous rappelle que l’abbaye d’Oignies en Hainaut possédait, dans les temps anciens, une partie des terres de Vieusart. Dans le chemin creux qui monte, dès le départ, vers le plateau, observez les racines apparentes de deux vénérables frênes qui s’arc-boutent sur le talus.Sur le plateau, un large panorama s’offre à vous : · Devant vous, sur l’autre versant de la vallée du Ry d’Aunaye, le lieu-dit champ de Lauzelle dont les terres appartenaient à la ferme de Lauzelle avant expropriation par l’UCL dans les années 1970. Ces terres constituent une réserve foncière pour l’extension de l’université. A l’arrière, les frondaisons du Bois de Villers, ancienne propriété de l’Abbaye de Villers, aujourd’hui propriété communale. · A une certaine distance sur votre gauche, les bâtiments de la ferme expérimentale exploitée comme centre de recherche par l’université. · Si vous vous retournez, vous pourrez admirer le château et son parc. Le château appartient depuis sa construction en 1858 à la famille de Dorlodot, héritière du domaine de la seigneurie de Vieusart sous l’Ancien Régime. Chaque année, début novembre à l’occasion de la Saint-Hubert, le parc est partiellement ouvert au public pour une cérémonie avec bénédiction des animaux. Cette cérémonie, héritée du passé mais toujours vivante, se déroule devant l’entrée du château et rassemble bon nombre de propriétaires d’un animal.Au bout du chemin d’Oignies, tournez deux fois à droite et au bout, prenez l’entrée d’une maison à gauche et des-cendez, encore à gauche, dans l’étroit sentier du Ry d’Aunaye qui vous mène à la rue de Mèves. En suivant celle-ci sur la droite, vous découvrirez, au carrefour, l’ancien Relais Dardenne. Tournez à droite dans la rue de Neussart puis prenez à gauche vers La Place qui est le centre historique du village. Passez devant les grilles du château et prenez le chemin pavé à gauche. La promenade se poursuivra en faisant le tour complet de la propriété. Vous longerez des allées de peupliers et rejoindrez le point de départ par la rue du Culot.Pour le Groupe Sentiers, Monique MILGROM, PrésidenteA suivre : rendez-vous dans le prochain Amalgame pour une autre découverte au fil de nos promenades, …Echos de la migration des batraciensSi vous vous êtes déplacés à la tombée du jour, entre la mi-mars et la mi-avril, dans l’avenue du Ronvau, vous avez pu voir chaque soir quelques personnes armées d’une lampe de poche, d’un seau et d’un gilet fluo …Une vingtaine de bénévoles se sont manifestés suite à notre appel pour aider les batraciens dans leur migration. Merci à eux ! Leur présence a contribué au succès de l’opération.Le gel a été tardif cette année et c’est seulement le 10 mars que la migration a vraiment commencé, avec ce jour-là 165 crapauds, 23 grenouilles et 26 tritons.La migration s’est achevée un mois plus tard.Au total, nous aurons aidé 2.623 crapauds communs, 133 grenouilles rousses et 126 tritons à traverser la route. Nous avons compté 520 batraciens (dont 53 tritons) écrasés par les voitures, … mais les bénévoles sont tous sains et saufs ! Maintenant, c’est au tour des grenouilles vertes (qui ne sont pas migratrices) de se retrouver dans les mares et les étangs pour se reproduire …Rendez-vous l’année prochaine pour une nouvelle action … Une réunion préalable est d’ores et déjà prévue en février 2019 pour encore mieux s’organiser.Monique MILGROM, Colette WOESTYN et Béatrice VERSCHAEREN. · DÉCOUVERTE AU FIL DE NOS PROMENADES … (n°11)Profitons de l’abattage récent d’une rangée de peupliers qui bordaient la rue de Neussart pour observer de plus près le château et son parc bien visibles en cette saison (livret n° 2, balade n° 10 « le tour du château de Vieusart »)n°1 : Banc de la chapelle d’Arnellen°2 : Banc le long du sentier du vicinal à Chaumontn°3 : Banc le long du sentier taille aux Frênes à DLMn°4 : Arbre magnifique proche du sentier du Manyprén°5 : Station de captage d’Ocquière et le trou du Diablen°6 : Circuit des arbres remarquablen°7 : Un peu d’histoire le long de 4 sentiers moins connus à Corroyn°8 : Le train à Bonlezn°9 : Le bois de la Glacerien°10 : La Fontaine des Loups, Roseraie, Migration des batraciens38Amalgame 76 – Été 2018Vie associativeLes écoles de Corroy-VieusartSelon Tarlier et Wauters, en 1666 déjà, le marguillier1 de Vieusart ouvrit une école : il était payé annuellement en seigle et en épeautre.Tarlier et Wauters signalent qu’au milieu du XIXe siècle, les cours étaient toujours dispensés à Vieusart dans un bâtiment voisin de l’église, bâtiment construit par le curé Joseph Gode-friaux, mort en 1759. En 1858-59, 203 enfants fréquentaient épisodiquement cette école.En 1874, une école officielle fut construite rue du Fraignat à Vieusart. La même année, une école officielle fut ouverte à Corroy : bâtie de part et d’autre de la Maison communale, elle accueillait à gauche les garçons, à droite les filles. Monsieur Nicolas Braibant, né en 1929, se souvient de son instituteur, Monsieur Joseph Fastre. Sœur Flora et sœur Agnès quant à elles dirigèrent tour à tour l’école des filles ; Madame Marina Leroux leur succéda.En 1892, la famille de Dorlodot fit construire à la Place à Vieusart une école catholique qui fut tenue par des sœurs. A Corroy, la famille de Dorlodot fit don à la Commune d’un bâtiment proche des écoles communales qui hébergea la « Petite Ecole » ; sœur Flora (morte en 1977 après 56 ans de présence à Corroy), particulièrement appréciée, y accueillit d’abord les enfants de 3 à 6 ans et dirigea ensuite une sec-tion primaire.Fusionnées en 1976, les écoles communales de Vieusart et Corroy se développèrent et optèrent pour une pédagogie active. Depuis le 24 octobre 2015, date de l’inauguration d’un bâtiment moderne, à la fois fonctionnel et écologique, la nouvelle école communale, animée par un projet tourné vers le développement responsable de l’enfant, permet l’accueil de plus ou moins 250 écoliers, de la maternelle à la sixième primaire.Nous remercions chaleureusement Monsieur Nicolas Brai-bant qui nous a aidé à reconstituer dans les grandes lignes l’évolution de l’enseignement à Corroy-Vieusart.Robert HAULOTTE, Président du Cercle d’Histoire de Chaumont-Gistoux. · Pour en savoir plus :1. J.Tarlier et A. Wauters, Histoire et géographie des com-munes belges, Canton de Wavre, Corroy-le-Grand, réédition « Culture et Civilisation », 1963.2. P. Wynants, « Chronique d’histoire scolaire, 7. Vieusart, une tradition de mécénat (1892-1914) », in, Revue du CHIREL, 2007, T.21, fasc.1, pp.19-36.Pour être tenus au courant de nos activités et recevoir notre Bul-letin trimestriel, versez 15 € au compte BE31 8776 7073 0155 du Cercle d’Histoire de Chaumont-Gistoux. · A LA DÉCOUVERTE DE NOTRE PATRIMOINE PUBLIC (n°11)Continuons notre périple et remontons le fil du temps avec l’histoire de notre patrimoine : la série se poursuit par la découverte des écoles de Corroy-Vieusart.Patrick LAMBERT, Echevin de l’Informationn°1 : L’Espace Perezn°2 : La maison communalen°3 : Les armoiries de Chaumont-Gistouxn°4 : Le château d’eau de Chaumontn°5 : Le site du Michelsberg à Gistouxn°6 : La fusion des communesn°7 : Notre patrimoine immatériel : le wallonn°8 : L’école de Dion-le-Montn°9 : L’école de Dion-le-Valn°10 : L’école de Bonlez1 | Note : Marguillier : membre de la Fabrique d’église.39Amalgame 76 – Été 2018Vie associativeJudo Club Chaumont-Gistoux & D.A. · Magali Tartinville (U15 / –48 Kgs) et Frédérique Maer-tens (Coache équipe U15 et U18 filles du Brabant) au niveau nationalNotre membre, Magali Tartinville, a récemment obtenu le titre de vice-championne provinciale et régionale dans la catégorie des cadettes – 48 kgs. Sélectionnée pour le championnat de Belgique à Deurne, le 18 février dernier, elle reviendra avec une 7e place, synonyme de top 8 national dans sa catégorie. A noter que 3 de nos membres ont à tout le moins atteint le championnat régional : Magali Tartinville, Médéric Milcamps (U18 / -60 kgs : défaite au premier tour) et Sarah Desmarthon (U21 / -70 kgs : 5e après son titre de championne provinciale).Autre motif de réjouissance, Frédérique Maertens, multiple championne de Belgique Seniors, a été mandatée par le Comité provincial pour coacher les équipes filles U15 et U18 dans le cadre du championnat de Belgique interprovinces. Elle sera reconduite dans ses fonctions en 2019. Equipe U15 pour laquelle Magali Tartinville a été sélectionnée et Médéric Milcamps a quant à lui été repris dans l’équipe U18 garçons.Tous les résultats de nos judokas en Belgique et à l’étranger sont consultables sur notre site : www.judochaumontgistoux.beNos stages de Pâques du 2 au 6 avril 2018 ont été un franc succès : psychomotricité, multisports, judo-multisports. Les inscriptions pour juillet et août battent leur plein. N’hésitez pas à nous contacter pour de plus amples informations.A noter qu’Henri-Nicolas Renders, Président du club et Arbitre continental, a officié à l’European Cup Seniors de Zürich (SUI) en mars et à l’European Cup Juniors de Lignano (ITA) en avril de même que la mise à l’honneur de nos sportifs méritants et bénévoles lors du souper annuel du club du 17 mars dernier.Au plaisir de vous revoir dans le cadre de nos activités !Pour tout renseignement :Henri-Nicolas RENDERS, Président – 0478/20.74.16www.judochaumontgistoux.be / Egalement sur Facebook !Le Judo club Chaumont-Gistoux & D.A. ASBL est membre de l’ASBL OmnisportsTrès bientôt, un terrain de padel tennis au Centre sportifDès la fin de 2016, la volonté de la Régie Communale Autonome de Chaumont-Gistoux était d’envisager l’accueil d’un nouveau sport en plein essor dans notre pays, à savoir le padel tennis. Cela correspondait exactement à l’objectif d’accroître l’offre sportive dans notre commune, particulièrement dans l’enceinte de notre centre sportif.Après analyse, il s’avérait que l’emplacement dédié aux pistes de pétanque était très rarement utilisé et correspondait exactement aux dimensions d’une infrastructure de padel tennis.Les démarches ont été initiées au début de 2017 afin d’obtenir les permis d’urbanisme nécessaires, de pré-parer le cahier des charges, de faire un appel d’offre et sélectionner une entreprise ainsi que de solliciter la Province du Brabant wallon pour l’obtention d’un subside.Ces étapes accomplies et la confirmation reçue de la Province de nous accorder un subside à hauteur de 80 % de l’investissement, nous sommes heureux de vous annoncer que les travaux de construction du terrain de padel tennis ont commencé au début du mois de mai et devraient être terminés début juin.L’accès du terrain au public devrait être possible dès le 15 juin. Des éclairages également prévus permettront la pratique du sport en soirée également.Les détails concernant l’accès et les conditions de réservation du terrain seront disponibles sur la page Facebook du Centre sportif André Docquier ou à l’accueil du Centre sportif dès le 10 juin.Qu’est-ce que le padel tennis ?Sport né au Mexique dans les années '70, il se pratique à 4 joueurs (2 contre 2) sur un terrain de 20 x 10 mètres encadré par des murs en verre et grillage de 2 à 3 mètres de hauteur. Les murs et grillages translucides font partie intégrante du terrain et peuvent être utili-sés par les joueurs, promettant ainsi des trajectoires parfois surprenantes.Les points se comptent comme au tennis (15, 30, 40, jeu, set et match).Les raquettes sont composées de gomme perforée et ne possèdent pas de cordage.Les balles, fort ressemblantes à celles de tennis, sont de pression et diamètre légèrement inférieurs.Le padel est finalement une synthèse des jeux de raquette que sont le tennis, le squash, le tennis de table et la pelotte basque.Nous sommes persuadés que cette nouvelle offre sportive, très à la mode, rencontrera un grand succès. A essayer !Patrick LAMBERT, Pierre LANDRAIN, Echevin des Sports Président de la Régie Communale AutonomeNext >